UNE VIE QUI RESSEMBLE A UN CONTE DE NOEL
Hans Andersen nait à Odense (Danemark ) dans le foyer misérable d’un cordonnier le 2 avril 1805. Son père qui rêve de gloire s’engage en 1812 dans la grande armée de Napoléon et meurt 4 ans plus tard.
Un grand-père fou, une mère illettrée, c’est sa grand-mère qui fera son éducation.
A 14 ans, et alors qu’il essaye de publier des pièces et des poésies, il rencontre Jonas Collin, le directeur du théâtre royal qui le prend sous sa protection et l’envoie au collège.
Souffre douleur de ses camarades, cela ne l’empêchera pas de terminer ses études tout en conservant l’ambition d’être célèbre.
Ses diplômes en poche, il voyage dans toute l’Europe ne manquant pas au passage de faire la connaissance de personnages célèbres tels que : Liszt, Dickens, Victor-Hugo. Et c’est en 1826 que Hans Andersen va devenir célèbre. A raison d’un volume par an, il écrit des contes inspirés de ses voyages et rencontres auxquels s’ajoute une imagination débordante.
Laid et hypersensible, célibataire, il se dépeint sous les traits du « vilain petit canard »
En 1867, il est fait citoyen d’honneur de sa ville natale et inaugure sa propre statue. Sa dernière biographie « le conte de ma vie » (1853) commence par ces mots : » Ma vie est un beau conte de fées, riche et heureux. »
On lui doit entre autres :
Les habits neufs de l’Empereur, Le stoïque soldat de plomb, La reine des neiges, La princesse au petit pois, La petite fille aux allumettes, La petite sirène, le Briquet, Les fleurs de la petite Ida, Le rossignol et l’Empereur de Chine….
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