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L’histoire (véridique)  se passe dans le Gers, Coco ou Jacquot , un bel oiseau des iles a semé la discorde dans une cité  du fait de son verbiage incessant. Si les passants qu’il haranguait s’en amusaient, il n’en est pas de même pour les proches voisins énervés par les « hep ! hep ! hep : et autres mots d’oiseaux surtout que l’un d’eux travaillant de nuit aspirait à dormir dans la journée.

Bien sûr, la police appelée plusieurs fois essaye de trouver une solution en proposant de mettre la cage dans une autre pièce mais le propriétaire qui « adore » son animal refuse car il n’y a pas de soleil de ce côté de l’immeuble.

De mots en maux, les deux clans se présentent devant une conciliatrice en justice qui après mure réflexion fixe les heures durant lesquelles Coco doit la mettre en veilleuse.

L’histoire ne dit pas ce que le perroquet à pensé du jugement, encore qu’il me semble l’avoir entendu murmurer: tous des fous ces deux pattes, non contents de remplacer mon espace naturel par une cage ridicule, voila maintenant qu’on me prive de la parole, alors que me reste-t-il ?

Qu’on me remette dans la nature et là il n’y aura plus de problème