animaux, humour,histoire,mystique,poèmes,contes,bric à brac

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Si Israël vous était conté !

 

 

A mes chers lecteurs,

J’ai ouvert cette rubrique hier, persuadée qu’avec tous les documents qui sont en ma possession et les nombreux articles que j’ai trouvés ou encore écrits moi même, je pourrais facilement vous servir, chaque jour et pendant longtemps, de nombreuses informations et ce, par ordre chronologique.

 

Malheureusement il n’en est rien, mes documents et articles sont éparpillés un peu partout en fonction du titre ou de l’importance du contenu.

 

Ce n’est tout de même pas un détail comme celui-ci qui va m’empêcher de vous livrer, dans le plus parfait désordre, tout ce que j’ai glané, dit, expliqué, pour essayer de faire comprendre à ceux qui ne le veulent pas, que leur vérité n’est pas la mienne.Yaël

 

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ET SI LES JUIFS ETAIENT LES VRAIS PALESTINIENS ?

 

 

«A l’origine, le territoire actuel de la Jordanie faisait partie du mandat britannique sur la Palestine officialisé par la Société des Nations.

 

En 1921 cependant, le Royaume-Uni décida de retirer les territoires à l’est du Jourdain, représentant 76% de la Palestine mandataire, et de les donner au dirigeant Hachémite Abdallah en compensation de son échec à prendre le contrôle de la Syrie.

 

Ce nouveau royaume fut appelé Transjordanie, puis Jordanie en 1949 après l’annexion de la Cisjordanie, qu’il perdit enfin en 1967 au profit d’Israël.

 

En même temps, le royaume accueillit la plus grande partie des réfugiés palestiniens fuyant la guerre et qui devinrent la majorité de la population du pays.

 

Ces Palestiniens représenteraient aujourd’hui de 70 à 80% de la population jordanienne ».

 

« Ainsi explique-t-on à droite, 76% de la Palestine a déjà été donnée aux Arabes en violation du mandat de la SDN. Et la Jordanie étant constituée essentiellement de Palestiniens, elle est donc un Etat palestinien. Il n’y a donc pas de raisons de donner des parties de la terre d’Israël pour la création d’un troisième Etat sur l’ancienne Palestine mandataire.

 

Ce raisonnement se heurte cependant à deux problèmes, même en excluant la question de la bande de Gaza : d’abord cela ne règle pas la question des Palestiniens dans les territoires : s’agit-il de restituer les territoires à la Jordanie ? De les annexer en expulsant vers l’est les Arabes y vivant ? Ou d’annexer les territoires et de considérer les Palestiniens qui y vivent comme des citoyens jordaniens avec une dose d’autonomie locale ? ».

 

« L’autre problème, c’est que la Jordanie a officiellement abandonné toute revendication sur la Cisjordanie et ses habitants en 1988. La Jordanie refuse non seulement de récupérer ces territoires, mais surtout d’être considérée comme un Etat palestinien. Et elle jouit sur ce point du soutien de toute la communauté internationale.

 

C’est bien pour cela qu’en 1970, lors des événements de Septembre Noir au cours desquels l’OLP avait tenté un putsch en Jordanie, Ariel Sharon avait été partisan de les laisser prendre le pouvoir. Le gouvernement de Golda Meir avait préféré apporter son soutien au roi hachémite qui l’avait finalement emporté en écrasant dans le sang la révolte palestinienne » (fin des extraits adaptés de l’article de Benjamin Lachkar).

- See more at: http://www.dreuz.info/2013/09/ce-que-vous-devriez-lire-monsieur-hollande-avant-daller-en-israel/#sthash.n7BsejAi.dpuf

 

 

On peut également lire ou relire, sur Golaniwarrior, cet article qui a l’incroyable audace, la souveraine impertinence de donner un éclairage différent. Par goût de la provocation, je me fais un plaisir de publier ci-dessous cet article de Golaniwarrior.

 

Golaniwarrior : Une erreur typique que même les Israéliens commettent et qu’il faudrait rectifier est d’appeler les Arabes locaux « Palestiniens ». C’est donner aux Arabes des munitions qui sont alors utilisées pour délégitimer Israël. Cela correspond à dire : « Oui, nous sommes d’accord avec vous. Vous étiez ici avant nous. C’est votre pays et nous vous l’avons volé ». Car c’est en fin de compte ce que dit la légende arabe et si le monde et Israël continuent à définir les Arabes comme « Palestinien », nous jouons leur jeu.

 

Golaniwarrior : Il est temps de faire une mise au point et d’arrêter de définir les Arabes comme « Palestiniens ». Beaucoup d’Arabes qui vivent en Israël et aux environs, voudraient faire croire au monde qu’ils sont les descendantes des Cananéens et/ou des Philistins (pour l’instant, ils ne se sont toujours pas mis d’accord quant à leur origine). Mais en fait, peu importe. Même s’ils venaient à descendre d’une de ces deux racines : ces deux tribus n’existent plus depuis environ 5 000 ans.

 

Golaniwarrior : Ensuite, il est intéressant de noter que la plupart des Arabes de la région sont musulmans. Quand on sait que le judaïsme a existé depuis plus de 5700 ans (c’est un fait, pas exactement sous sa forme actuelle), le christianisme est vieux de 2000 ans, mais l’Islam n’a fait son apparition qu’au VIIe siècle. Il est alors juste de se poser la question : mais qui sont ces Palestiniens ?

 

Golaniwarrior : Si les Arabes ont commencé à se définir comme Palestiniens, c’est tout simplement, car ils n’ont absolument aucune identité par rapport à cet endroit. Ils sont originaires de la Jordanie, de l’Égypte, du Liban et autres, mais pas de cet endroit précis. On n’a pas besoin de faire beaucoup de recherches avant de constater que la lettre « P » n’existe pas dans l’alphabet arabe et encore moins le mot « Palestine ». Et que le nom « Palestine » a été créé par l’Empire romain. Les Romains ont donné ce nom au pays après l’avoir conquis, environ en 75 et donc au moins 600 ans avant la naissance de l’Islam. Le nom de Palestine s’est surtout généralisé après la défaite de Bar Kokhba en 132.

 

Golaniwarrior : Le mot « Palestine » est inspiré des philistins qui étaient un peuple qui existait dans la région à l’âge de fer (environ 1175 avant notre ère) et qui a envahi la Judée. Les mauvaises langues disent que si les Arabes ont choisi ce nom, ils ont fait là un choix tout à fait adapté. « Avant 1967 il n’y avait aucun article de journaux ou autre qui parlait des Arabes comme “palestiniens”. Le conflit au Moyen-Orient était tout simplement connu sous le nom de conflit israélo-arabe et non comme conflit israélo-palestinien ».

 

Golaniwarrior : Avant la renaissance de l’État d’Israël, en 1948, le seul peuple qu’on appelait « palestinien » était le peuple juif. Pas le peuple arabe. Qui de plus est, les Arabes ne voulaient pas qu’on les appelle « Palestiniens », car ils ne voulaient être associés ni aux juifs ni à l’État britannique de la Palestine. C’était une insulte. Si on appelait un Arabe « Palestinien », on se voyait répondre un truc du genre : « Du calme, je suis Arabe ! Je ne suis pas Juif ! ».

 

Golaniwarrior : Les Arabes qui vivaient dans la région sont devenus « palestiniens » après la guerre des Six Jours en 1967. Avant cette période, lorsque la Judée, la Samarie et Jérusalem étaient occupés par la Jordanie et que Gaza était occupé par l’Égypte, aucun Arabe ne se voyait « Palestinien ». Même Yasser Arafat, le si fameux « Palestinien » et ancien leader de l’OLP n’est pas né « Palestinien ». Il se définissait comme « réfugié palestinien » alors qu’il était né au Caire et a parlé toute sa vie l’arabe avec un accent égyptien.

 

Golaniwarrior : Il a fait son service dans l’armée égyptienne, a étudié à l’université du Caire où il a habité jusqu’en 1956. Il n’a jamais été réfugié de quoi que ce soit et il n’était même pas originaire de la région en question. Le nom complet d’Arafat était Mohammed Abdel Rahman Abdel Raouf Arafat al-Qudwa al-Husseini. Le nom de famille Al-Husseini indique que sa famille venait à l’origine de la Jordanie.

 

Golaniwarrior : Avant la fin des années soixante, le terme « palestinien » était utilisé par le monde entier pour définir les juifs. Pour tout le monde, tous les médias, tous les politiciens, Palestine était un autre mot pour désigner Israël, tout comme Kemet est un autre mot pour désigner l’Égypte. Jusqu’en 1950, le journal Jerusalem Post s’appelait tout bonnement Palestine Post.

 

Golaniwarrior : Le périodique pour l’Organisation Sioniste d’Amérique (Zionist Organization of America) s’appelait « New Palestine ». La banque israélienne Leumi s’appelait « Anglo-Palestine Bank ». La compagnie d’électricité d’Israël s’appelait : Palestine Electric Company. On trouvait « Palestine Foundation Fund » et « Palestine Symphony Orchestra ». Toutes ces entreprises, toutes ces organisations étaient dirigées par des Juifs. Aux États-Unis, la Jeunesse Sioniste chantait « Palestine, my Palestine », « Palestine Scout Song » et « Palestine Spring Song ». Les Arabes savaient pertinemment que « palestinien » voulait dire « Juif », tout simplement. C’est bien pour cette raison qu’ils ne voulaient pas qu’on les appelle comme ça.

 

Golaniwarrior : Puis tout d’un coup, après la guerre de 1967, les Arabes se sont dits Palestiniens. L’idée est venue des experts en relations publiques du KGB de l’ex Union Soviétique. Le plan et la campagne ont été préparés et orchestrés par l’Institut d’État des Études Orientales dont le leader était Levgueni Primakov. Primakov était espion, parlait très bien l’arabe. Il avait travaillé dans différents pays arabes en se faisant passer pour un journaliste pour le journal soviétique Pravda.

 

Golaniwarrior : Les médias du bloc soviétique ont donc commencé à pleurer les « pauvres palestiniens » et « les méchants juifs qui ont volé le pays de ces pauvres palestiniens ». L’idée des « pauvres palestiniens » fut rapidement reprise par les médias de gauche, surtout pendant la période des années 68, période propice à ce genre de propagande, et après trois ans de matraquage médiatique, l’égyptien Yasser Arafat fit un discours passionné dans les universités européennes et à l’ONU en expliquant comment lui, un « Palestinien d’origine » s’était vu voler son pays et être humilié par ces « khazars de juifs ».

 

Golaniwarrior : Le « peuple palestinien », venu de nulle part s’est petit à petit installé dans le vocabulaire et dans la compréhension européenne. Soyons honnêtes : tout ceci a bien marché tout simplement, car cela allait contre les juifs. Si l’Union Soviétique et les Arabes avaient essayé d’expliquer au monde que les « Spaniards » avaient volé l’Andalousie aux indigènes. Tout le monde en aurait ri. Mais quand il s’agit des juifs…

 

Golaniwarrior : Ne nous leurrons pas. Les Européens n’ont jamais aimé les juifs et ils ont donc rapidement accepté cette histoire du « pauvre peuple palestinien éjecté par les juifs ». Israël s’est lancé dans une campagne d’explication, mais n’avait pas les moyens de faire face à la machine de propagande arabo-soviétique bien épaulée par les médias de gauche et par la mentalité des années 68. Surtout qu’il leur fallait travailler dur pour développer ce nouveau pays tout en étant en guerre. Israël ne pouvait pas se faire entendre.

 

Golaniwarrior : Donc aujourd’hui, nous avons des Arabes qui se définissent comme « Palestiniens » et qui pleurent, car « les juifs ont volé leur terre ». Et donc, lorsque je vous dis que : « Les juifs ont volé la Judée aux Palestiniens », c’est une phrase qui a un sens, pour vous ? Ça ne vous fait pas tiquer quelque part ? Vraiment ? Mais alors, pourquoi continue-t-on à appeler les Arabes « palestiniens » ? Tout simplement parce que, encore une fois, Israël et les juifs ont choisi le compromis pour avoir la paix, pour calmer les choses.

 

Golaniwarrior : 51 attaques terroristes sur Israël pour le seul mois d’août 2012 nous donnent une idée du succès de cette politique du compromis. Vous aussi, apprenez à vos amis à utiliser les mots justes : les Juifs sont les Palestiniens, les Arabes sont les Arabes, conclut Golaniwarrior.

 

http://www.juif.org/go-blogs-52659.php



01/10/2013
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