QUI SEME LE VENT RECOLTE LA TEMPETE
Je suis de plus en plus active sur facebook et principalement en ce qui concerne les animaux et leur défense.
Arrive ce qui doit arriver, j’ai de plus en plus de contacts et je reçois sur mon fil d’informations, des articles écrits par eux.
Au début, j’étais très intéressée par ce que je lisais car j’apprenais énormément de choses que je transmettais à d’autres, les appels financiers ne me laissaient pas indifférente et je participais autant que je le pouvais.
Et puis, il m’a semblé que le ton des articles changeait et que leurs auteurs venaient régler leurs comptes avec d’autres asso. ; des accusations ici, des mots grossiers ailleurs, vraiment rien ne manquait et devant le nombre de plus en plus grand de critiques, de doléances, de menaces, de plaintes déposées, je me suis dit que tout ce temps consacré à la polémique était prélevé sur celui destiné aux 4 pattes : les recueillir, les soigner, les sortir, etc…..et si l’argent envoyé était aussi mal employé que le temps dont elles disposent, on pouvait se poser là aussi de nombreuses questions.
A partir de cette constatation, comment est il possible de distinguer les « bonnes associations » des moins bonnes et même des mauvaises, surtout pour ceux qui ne peuvent pas se rendre sur place pour constater et qui doivent se faire une idée « réelle » sur une situation « virtuelle »?
Je n’ai trouvé comme raison que celle-ci : les bonnes associations sont celles qui n’ont pas le temps de baver sur leurs semblables, trop occupées par le travail gigantesque et sans fin dont-elles se sont investies.
Les bonnes associations sont aussi celles qui ne font pas de vagues, qui ne sont pas grossières dans leurs propos estimant que notre langue est assez riche pour pouvoir s’exprimer sans insulte ni vulgarité même dans le cas d’une très grande fatigue ou encore de doute car la frontière n’est pas loin entre le pétage de plombs verbal envers un de ses semblables et le pétage de plombs physique envers un animal difficile à soigner ou à traiter.
En conclusion et en ce qui me concerne, sachez mes chères associations, que je n’ai plus ni l’envie ni le temps ni le courage de m’intéresser à votre égo surdimensionné ni à vos crêpages de chignons et que j’essaierai d’aider celles qui, dans l’ombre, font un travail magnifique consacrant tout leur temps et leur courage au vrai sauvetage des animaux qui sans elles, ne peuvent que mourir dans d’atroces souffrances.
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