QUI EST LE PEUPLE CHAT ?– One voice- 2ème partie
UN ESPRIT OUVERT ET UNE CURIOSITE AIGUISEE
De ses origines sauvages, le chat a conservé un esprit ouvert et curieux de tout, bien utile pour la chasse et l’exploitation des vastes territoires. Ses organes sensoriels, coussinets sous les pattes, moustaches, ouïe, yeux, nez sont d’ailleurs très développés.
Même compagnon de l’humain, le chat demeure un observateur, un explorateur, un chercheur. Il est plein de curiosité, il aime découvrir, guetter, jauger avant de lancer sa course vive et impulsive sur la petite proie ou le jouet ; de choisir un lieu d’exploitation ou de repos, de goût, le chat est un hédoniste.
LE PLAISIR POUR PRINCIPE DE VIE
Il n’a pas son pareil pour dénicher le coin le plus confortable et le plus chaleureux ; écharpe, duvet moelleux, radiateur, coussin, creux du cou, du ventre. Il est prêt à la grève de la faim, ou a quitter la maison pour faire comprendre que ses croquettes ne sont pas à son goût, ou à toutes les contorsions et miaulements pour réclamer le mets qui chatouille ses narines, ou la caresse qui l’apaise.
Le chat aime se faire du bien. Le léchage qu’il pratique abondamment lors de ses multiples toilettes a ainsi des vertus apaisantes tout comme le ronronnement, les frottements ou les caresses.
Le jeu est un des plaisirs favoris des chats. Chatons et adultes le pratiquent avec le même bonheur. Ils déploient des trésors d’imagination pour s’amuser d’un bout de ficelle, un morceau de bois, une boite en carton, une ombre qui bouge…. Ils jouent seuls ou avec leurs congénères mais aussi avec les humains qu’ils viennent solliciter en portant la queue dressée très haut et bien droite comme pour dire « allez, on joue ! »- « la vie est un jeu » est leur philosophie.
Contrairement à ce que beaucoup d’humains pensent, les chats n’ont pas le plaisir égoïste ; ils aiment à se lécher les uns les autres comme le faisait leur mère lorsqu’ils étaient petits. De nombreuses histoires rapportent aussi la propension des chats à ronronner pour apaiser la souffrance de leur compagnon humain en s’installant sur la partie du corps malade.
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