psychologie du bien et du mal
En gros, on le savait déjà (100% Des serial-killers
ont commencé sur des animaux et j'enrage que nos tribunaux
ne tiennent jamais compte de ce paramètre!!)
Quant à l'exemple parental, gosses qui ont vu des parents
maltraiter des animaux et trouvent donc normal de le faire.
Ne pas oublier qu'environ 20% feront l'inverse, par
réaction :ce fut mon cas perso (je souffrais terriblement
des maltraitances chez moi et j’ai toujours protégé en
réaction etc) .
Idem,pour un autre exemple,un fils de
Maquignon que je connais, s'est enfui de chez lui
à 17 ans et a coupé les ponts avec sa famille :Le déclic
Fut un cheval très doux et brave qu'on l'a obligé à
accompagner à l'abattoir, Il ne s'en est pas remis et
il est parti !!!
Ces réactions sont une forme de résilience
http://www.huffingtonpost.fr/laurent-begue/violence-extreme-animale_b_3154511.html
"Quand vous abandonnez un chien ou un chat parce qu'il ne vous sert plus ou vous gêne, les enfants apprennent la leçon.
Peutêtre ferontils la même chose avec vous quand vous serez un vieillard ?
Il faut y penser !" (Anonyme)
A RELAYER SANS MODERATION A TOUS VOS RESEAUX
Article de Laurent Bègue, Professeur de psychologie sociale à l'Université Pierre Mendès
France de Grenoble, qui s'est penché sur le lien entre cruautés sur animaux et violences
aux personnes. La thématique du récent colloque à Aix en Provence :
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