NOSTALGIE DE LA FRANCE D 'ANTAN

Je ne sais pas si c’est l’âge qui fait cela mais je suis de plus en plus attirée par ce qui n’est plus ou qui devrait disparaitre bientôt : vieilles rues, vieux métiers, coutumes, habillement, tous ces témoins d’un temps pas si éloigné de nous pourtant mais qui ont été balayés par le progrès.

La vie alors se vivait lentement, on savait apprécier les petits bonheurs alors que maintenant que tout va si vite que peut-être n’y aurait-il plus personne, dans quelques dizaines d’années, pour s’émouvoir sur des souvenirs de notre époque qu’aucun n’aura jugé utile de photographier, de collectionner, de conserver pour les générations futures.