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« Pour surveiller les pensées et les sentiments qui vous traversent, vous devez chaque jour vous montrer éveillé, vigilant, et ce n’est pas facile ! Observez-vous : il y a des moments où vous êtes occupé à faire la cuisine, à bricoler ou à conduire votre voiture, et vous êtes apparemment concentré sur ce que vous faites. Mais en réalité, une partie de vous-même est allée s’égarer au milieu de pensées et de sentiments négatifs, et cela peut durer longtemps sans même que vous vous en rendiez compte.

C’est donc là, particulièrement, que vous devez apprendre à devenir vigilant pour être capable d’intervenir à tout moment dans votre vie intérieure.

Le premier pas vers la liberté, le premier pas vers la véritable puissance, c’est de vous habituer à jeter un regard en vous-même pour voir où vous en êtes. Et si vous constatez que vous êtes en train de descendre dans les régions obscures de la conscience, réagissez en tâchant de déclencher des forces constructives. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

On m’a plusieurs fois demandé si j’étais une adepte de ce sage, on m’a dit aussi qu’il s’agissait d’un gourou qui, dans le passé, avait fait de la prison, en un mot on s’est étonné de mon attachement à ses enseignements.

Lorsque j’ai découvert  Monsieur Aïvanhov, j’ai tout de suite aimé ses pensées qui correspondent aux miennes et j’ai cru bon de les transcrire sur mes blogs car le monde, tel qu’il apparaît un peu partout, semble avoir bien besoin de paroles de sagesse.

Bien sûr, je ne me fais aucune illusion, ceux qui les liront seront ceux qui ont déjà une conscience en éveil mais je ne suis pas comptable des actions de chacun, je fais seulement ce que je crois devoir faire pour aider mon prochain à y voir plus clair, laissant à chacun le droit de méditer ou de passer outre, mais quelque soit la décision qui sera prise, tous ceux qui auront pris connaissance de ces messages de paix, d’amour, de spiritualité, ne pourront pas dire « je ne savais pas » le jour où ils auront des comptes à rendre, par contre, ce qu’ils risquent de dire alors sera : « si j’avais su » (Yaël)