L'humanité est à un tournant de son histoire
Autant il est facile de comprendre un événement lorsque celui-ci est passé et qu’on nous fournit toutes les explications pour le comprendre, livres d’histoires à l’appui, autant il est difficile de comprendre un événement non abouti, qui est entrain de se produire et qui est le fruit de nombreux changements survenus durant des décennies.
Qui ne sait pas maintenant que notre monde est à bout de souffle ?
Qui ne sait pas que durant des siècles, nous avons pillés les ressources de notre terre ?
Qui veut encore ignorer que l’homme est devenu un loup pour l’homme, ne respectant plus rien ni personne ?
Ici et là, se lèvent des gens, souvent sortis de l’anonymat, qui tentent d’alerter, de crier : « attention ! » mais qui les écoute ?
Pourtant, ce que la nature n’obtiendra pas avec notre accord, elle l’obtiendra de toutes façons car à force de la maltraiter, de l’épuiser elle s’élèvera contre nous et sa colère sera alors si forte que nous ne pourrons que subir son courroux sans rien pouvoir faire pour y résister car : « il sera trop tard »
Déjà les prémices de cette colère sont là : les tsunamis, les sécheresses, les inondations, auxquels il faut ajouter ceux provoqués par l’homme : les déraillements de trains, les accidents d’avions, de voitures, les effondrements de villages entiers, sans oublier les guerres, les fameux « printemps » de partout et nulle part qui se terminent dans le sang, dans le viol, dans l’horreur.
A moi qui parle si bien et si fort, vous demanderez : alors quoi faire et comment faire ? et je vous répondrai : je n’en sais rien car je n’ai pas de baguette magique mais ce que je sais, c’est que chacun, à son propre niveau, peut faire quelque chose, soit de façon isolée soit en groupe car si la bonne volonté se transforme en volonté, volonté de faire quelque chose, volonté de changer quelque chose, volonté d’agir pour quelque chose, l’idée qui sera en marche ne s’arrêtera pas.
Je peux par contre vous donner quelques indices : d’autres l’on dit avant moi :
Gandhi, «la grandeur d'une nation et ses progrès peuvent être jugés par la manière dont elle traite les animaux»
Boris Cyrulnik « Le jour où les humains comprendront qu’une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires »
Oui, tout cela commence par le respect,
-le respect des choses comme par exemple des livres qui contiennent, chacun à leur niveau, un enseignement, une réponse, un moment de délassement nécessaire et que l’on brûle facilement quant un tyran l’exige.
-le respect des animaux qui ont leur place parmi nous et qui doivent être traités avec humanité et bienveillance,
-le respect de l’autre et surtout de celui que nous percevons comme différent de nous. IL ne s’agit pas ici d’aimer tout le monde mais de supporter autant que possible, les différences existant entre nous.
-le respect dû au pays d’accueil. On respectera son mode de vie, son hymne, sa langue, ses lois et pour participer le plus possible à sa vie, pour s’intégrera le plus harmonieusement possible.
Enfin, pour ceux qui le peuvent ou encore ont la chance d’en être capables, il y a la croyance dans une entité supérieure. Et tous les livres qui ont été écrits à ce sujet sont autant de messages et de conseils qui permettent d’emprunter le bon chemin d’un pas ferme. Alors, la conscience et l’âme participant à ce grand voyage qu’est la vie seront des guides précieux et sûrs qui nous diront que faire et comment le faire et le reste viendra tout seul. (je le sais car j’en fais l’expérience)
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