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Utilisé depuis des siècles,il faut remonter à la préhistoire, époque où ils étaient faits d’arêtes de poissons fixées à un morceau de bois ou encore des épines de chardons attachées à une branche.

Au néolithique ils étaient faits d’or ou de bois.

Chez les Assyriens et les Egyptiens, 35 ans avant J.C. ils étaient réservés à l’ari stocratie et les artisans rivalisant de talent délaissent l’os au profit de l’ivoire de la corne ou du métal.

Les romains préfèrent le buis, l’argent, l’or et l’ivoire et ils vouent un véritable culte  à cet accessoire qui déjà à leur époque existait en format de poche.

Les Francs eux aimaient les peignes de grandes dimensions pourvus d’un système de protection qui recouvrait les dents du peigne quand celui-ci n’était pas utilisé.

De nos jours,les peignes en corne sont les plus adaptés à notre chevelure car étant de la même composition que nos cheveux, la kératine, ils n’arrachent pas les cheveux mais au contraire les lissent et les rendent soyeux, de plus la corne étant une matière non conductrice d’électricité, le peigne est antistatique et enlève l’électricité emmagasinée au long de la journée.

 Il ne reste aujourd’hui qu’un seul  artisan « peignier » sur le territoire français