animaux, humour,histoire,mystique,poèmes,contes,bric à brac

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DU RIRE A LA COLERE –10 EME PARTIE – ONE VOICE


 

Roland Anderson de l’aquarium de Seattle, explique que les pieuvres géantes du Pacifique réagissent d’une manière qui pourrait être interprétée comme de la colère quand on nettoie leur habitat, elles virent au rouge vif et tentent d’attraper les objets utilisés pour le nettoyage. Il semble aussi que les pieuvres manifestent de la colère en projetant de l’eau sur ce qui les dérange comme ce fut le cas pour une biologiste qui se servait d’une lampe torche pour vérifier le débit de la pompe à eau (Anderson 2000)

 

 

Les chercheurs du département de neurobiologie de l’université hébraïque de Jérusalem ont étudié les poulpes qui étaient entraînés à apprendre et à mémoriser des tâches et ils ont mis en évidence des similitudes frappantes avec le cerveau des vertébrés et ont obtenu de nouvelles informations sur la façon dont le cerveau de ces animaux stocke les souvenirs.

Au Royaume-Uni, le poulpe bénéficie d’une protection légale qui le met à l’abri des expériences intempestives.

 

 

De nouveaux travaux publiés par des chercheurs de la Queen’s University en Irlande du Nord viennent conforter ces dires par des preuves toujours plus nombreuses que les crustacés peuvent souffrir : Des pagures qui ont reçu des petits chocs électriques ont préféré changer de coquille et ont présenté un comportement de stress se manifestant par une friction de l’abdomen, ce qui, d’après les chercheurs serait une réaction motrice protectrice considérée comme un signe de douleur chez les vertébrés tout comme le léchage du doigt de quelqu’un après s’être brulé.

 

 

Les blattes, les mouches et les limaces ont un comportement indiquant une douleur et des travaux réalisés sur des criquets, des limaces et des escargots montrent que ces animaux établissent des priorités et font des choix.

 

 

 

 

Il y a peu, des chercheurs australiens se sont aperçus d’une chose étonnante chez les abeilles à savoir qu’elles sont capables de compter ; ils ont entraîné des abeilles, en les récompensant avec de l’eau sucré, à suivre un chemin balisé par des marques de couleur à travers un labyrinthe constitué de cylindres et comportant plusieurs niveaux de bifurcations. Lors d’une autre expérience, les abeilles ont su faire la différence entre des schémas en comprenant trois. Ces abeilles ne comptent pas littéralement mais elles sont capables de remarquer le nombre de points et de s’en souvenir.

 

Le Docteur Shaowu Zhang, directeur des recherches à l’ARC, Centre of excellence in Vision Science en Australie, à qui on doit ces travaux à déclaré : « nous n’avons jamais pensé observer de telles capacités chez des insectes et notre sentiment à présent est qu’il n’existe probablement pas de frontière entre les insectes, les animaux et nous……………



15/06/2011
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